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Une lagune est une étendue d’eau séparée de la mer par un cordon littoral (bande de terre éloignée de la côte).
Venise est une ville située au nord-est de l’Italie dans une lagune. La bande de terre qui la sépare de la mer Adriatique se nomme le Lido. L’eau est très présente autour de la ville et même dans la ville. Le centre de la ville de Venise est construit sur de nombreuses iles entourées de canaux sur lesquels il est possible de se déplacer. En tout, le centre de Venise couvre une superficie de 8 km2 [1].

La ville de Venise est traversée par 177 canaux sur lesquels il est possible de circuler en bateau[2].
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La ville de Venise est l’une des destinations touristiques les plus populaires au monde. Inscrite sur la Liste du patrimoine mondial de l’UNESCO, elle accueille chaque année environ 30 millions de visiteurs[3].
L’histoire et l’architecture de la ville attirent de nombreux amateurs du tourisme culturel. La ville a été fondée au temps de l’Antiquité et a été une ville marchande très influente durant le Moyen Âge et à la Renaissance. Venise a aussi la particularité d’être construite sur l’eau, ce qui la rend unique en son genre.
La ville offre une multitude d’attraits culturels comme des monuments, des musées et des festivals.
Le palais des Doges, aussi appelé Palazzo Ducale, a longtemps été la résidence du Doge, le chef de la République de Venise. Le palais était donc aussi le siège du gouvernement. L’architecture du palais est un mélange entre les styles gothique, byzantin et de la Renaissance.

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La basilique Saint-Marc a été le centre de la vie religieuse à Venise pendant très longtemps. Sa construction débute en 1023. Le mélange des styles architecturaux byzantin, romain et vénitien impressionne grandement les visiteurs. Le Campanile, soit le clocher de la basilique, est aussi un attrait touristique populaire, puisque les visiteurs peuvent y grimper et ainsi voir la ville sous un autre angle.

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La place Saint-Marc est l’endroit où on retrouve la basilique, le palais des Doges, le Museo Correr, le Campanile et la Torre dell’Orologio (tour de l’horloge). La place a une dimension de 180 par 70 mètres[4]. Durant l’acqua alta (la grande marée), la place Saint-Marc est souvent la première à être inondée puisqu’elle est située au niveau le plus bas de la ville.

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Le Grand Canal permet d’explorer Venise depuis l’eau. Il est le plus grand et le plus important canal de la ville. Long de 4 km, il divise la ville en deux[5]. Il y a quatre ponts qui permettent de traverser le Grand Canal, le plus connu étant le pont du Rialto.

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Le pont du Rialto, construit entre 1588 et 1591, est le plus ancien pont qui traverse le Grand Canal. Le pont à trois escaliers est bordé de différentes boutiques souvenirs.

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Comme la ville de Venise est située sur un archipel, les infrastructures et les aménagements de la ville doivent être adaptés à cette particularité. La ville est formée d’une centaine de petites iles. Ainsi, il n’y a pas de routes ou d’autoroutes, puisque Venise est construite sur l’eau. Le transport se fait par bateau ou à pied. Pour les personnes voyageant à pied, environ 400 ponts relient les différentes iles entre elles. Pour les déplacements sur l’eau, il existe différents moyens de transport :
- les gondoles et les traghetti,
- les bateaux-taxis,
- les vaporettos.
Venise offre énormément d’options d’hébergement. La ville compte plus de 380 hôtels, en plus des auberges jeunesse, des gites et des locations de type Airbnb. Il y a aussi un nombre impressionnant de restaurants dans la ville, soit plus de 1 500[6].
Différents évènements sont organisés afin d’attirer les touristes, comme le populaire Carnaval de Venise.
Le vaporetto est le moyen de transport le plus populaire à Venise. Ces bateaux-bus sont utilisés autant par la population locale que par les touristes. Les services de la ville (police, ambulance, poste) se servent aussi de ce moyen de transport . Les vaporettos mesurent en moyenne 24 m et peuvent accueillir environ 200 personnes.

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La gondole est un moyen de transport traditionnel de Venise. Elle était la principale façon de se déplacer dans la ville pendant plusieurs centaines d'années. Elle est aujourd'hui utilisée principalement par les touristes. La gondole est une barque, assez longue et plutôt étroite, qui se conduit grâce à une seule rame.

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Le Carnaval de Venise est apparu au 11e siècle. Le but du Carnaval à cette époque est de célébrer la grandeur et la puissance de la ville de Venise. La fête était aussi un moment d'unification pour les différents quartiers de la ville. En 1970, l’Office du tourisme et de la culture de Venise lance une campagne publicitaire pour mettre de l’avant le Carnaval. De nos jours, le Carnaval se tient en février. Des gens déguisés et masqués se promènent dans la rue et des bals et des défilés sont organisés.

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Les inondations
Au fil des ans, la ville de Venise a connu plusieurs inondations. Comme la ville est bâtie près du niveau de l’eau, elle est plus à risque d’être inondée dès que le niveau de l’eau augmente en raison de grandes marées. Une grande marée est aussi appelée acqua alta (acque alte au pluriel).
Le nombre d'inondations a beaucoup augmenté durant les dernières décennies. Elles deviennent ainsi une plus grande menace pour l’avenir de la ville. Plusieurs mesures ont été prises pour tenter de protéger Venise contre la montée des eaux.
En 2003, un grand chantier est lancé : le Modulo Sperimentale Elettromeccanico, souvent appelé MOSE ou Moïse. Le but est de protéger la ville en installant un système de digues aux entrées de la lagune.
Ces digues sont mobiles. En temps normal, elles restent fermées, mais lorsque le niveau de l'eau augmente trop, elles s'élèvent jusqu'à la surface de l'eau. Cela forme un barrage qui empêche la montée du niveau de l'eau dans la lagune.
Déployé pour la première fois en 2020, le système MOSE a prouvé son efficacité à plusieurs reprises dans les années suivantes en évitant à Venise de nombreuses inondations.
Ces digues sont le résultat d’un énorme travail. Elles s’étendent sur plus de 2 500 mètres et ont couté plus de 5 milliards d’euros à construire[7]. Elles coutent également très cher à surveiller et à entretenir. Malgré tout, pour le moment, elles sont en mesure d’aider à protéger la ville.
La lagune de Venise abrite des marais. Grâce aux racines des plantes, ces marais aident à protéger la côte contre l’érosion. Ils sont aussi capables de capter de grandes quantités de CO2 dans l’air, aidant du même coup à réduire la pollution de l’air.
L’écosystème de ces marais se nourrit grâce aux sédiments apportés principalement par les grandes marées. Toutefois, maintenant que des digues bloquent ces grandes marées, moins de sédiments arrivent jusqu’aux marais. Cela pourrait mener à leur disparition. L’une des solutions proposées est d’attendre que la marée soit un peu plus haute avant d’activer les digues. La ville connaitrait alors de légères inondations, mais les marais obtiendraient les sédiments dont ils ont besoin pour survivre.
L’érosion est la dégradation du sol sous l’effet du vent, de l’eau ou de l’action humaine.
En moins d’une semaine, en novembre 2019, la ville de Venise a été inondée par 3 épisodes d’acque alte. Les inondations ont causé beaucoup de dommages dans les lieux publics, les hôtels, les églises et les logements. Elle a aussi causé au moins un décès. Au plus fort des inondations, 80 % de la ville était inondé[8].

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L’affaissement de la ville
La ville de Venise s’enfonce dans le sol depuis plusieurs décennies. Cela fait en sorte qu’elle est de plus en plus basse par rapport au niveau de la mer, ce qui augmente les risques d’inondation et met en danger les bâtiments de la ville.
L’une des causes de cet affaissement est que, dans le passé, de l’eau souterraine était pompée sous la ville. Le fait de retirer cette eau a fragilisé les sols qui soutenaient la ville et cela a accéléré le phénomène d’affaissement. Depuis 1970, il est donc interdit de pomper de l’eau souterraine. Cette interdiction a aidé à stabiliser la ville. La ville continue tout de même de s’enfoncer dans le sol.
La pollution de l’air
La pollution de l’air accélère la dégradation de la ville et de ses attraits touristiques.
L’utilisation, à travers la ville, de nombreux bateaux qui fonctionnent au diésel pollue l’air. Cet air pollué attaque la pierre et d’autres matériaux des bâtiments, ce qui détruit lentement ces derniers. Par exemple, les palais situés près du Grand Canal, une véritable autoroute pour bateaux, souffrent de cette pollution.

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La ville de Venise met plusieurs mesures en place pour réduire la pollution et ainsi protéger ses attraits. L’une de ces mesures est d’utiliser des sources d’énergie moins polluantes, comme l’électricité ou même l’hydrogène. La ville prend aussi des mesures pour réduire la pollution produite par les déchets laissés par les touristes. Elle les incite entre autres à utiliser les fontaines d’eau au lieu de prendre des bouteilles d’eau jetables.
L’impact des bateaux de croisières
En 2019, le port situé dans le centre de la ville de Venise a accueilli 667 navires de croisières ce qui totalise environ 700 000 passagers[9]. Ces navires se déplacent au cœur de la ville. Plusieurs sont tellement grands qu’ils dépassent tous les bâtiments autour d’eux. Lorsqu’ils se déplacent, ils passent tout près de bâtiments et de monuments historiques comme le palais des Doges et la place Saint-Marc. Leur présence a de nombreux impacts tant sur l’environnement de la lagune que sur la ville et son patrimoine.
L’un des impacts vient de l’effet des vagues créées par ces bateaux sur les fondations de la ville. Venise est en bonne partie construite sur des fondations de bois enfoncées dans le sol. Les vagues qui frappent les berges fragilisent ces fondations, ce qui met en danger les bâtiments construits sur les berges.
Un autre impact est la pollution. Les bateaux de croisière amènent :
- de la pollution atmosphérique avec leurs moteurs,
- de la pollution visuelle étant donné leur taille et leur présence à travers les attraits touristiques,
- de la pollution sonore à cause du bruit de leurs moteurs et des activités qui se déroulent à bord.

Par leur taille, les bateaux de croisière sont bien visibles à travers les bâtiments de Venise.
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Des milliers d’emplois dans la région dépendent directement de la présence des bateaux de croisière et plusieurs autres emplois dépendent de la présence des touristes. Il n’est donc pas si simple de mettre de côté cette industrie.
Devant plusieurs pressions, dont la menace de l’UNESCO d’inscrire Venise sur la Liste du patrimoine mondial en péril, les autorités ont interdit l’accès à la ville à certains grands navires en 2021. Par exemple, les navires de plus de 180 mètres de long ou dont les émissions contiennent plus de 0,1 % de soufre ne peuvent plus circuler dans la ville et accoster au port de Venise. Ils doivent se rendre à un autre port de la région. Les navires de croisière plus petits, de leur côté, peuvent toujours accoster au port de Venise.
Toutefois, certains soutiennent que les bateaux de croisières ne devraient pas être interdits que dans Venise, mais dans toute la lagune afin de réellement protéger la ville et l’écosystème qui l’entoure.
En 2020, les mesures de confinement ont fait en sorte de diminuer de beaucoup le nombre de déplacements dans la ville. L’eau des canaux de Venise, généralement trouble en raison du passage de nombreux bateaux, est devenue claire. Les sédiments en suspension dans l’eau se sont déposés au fond. Il était donc possible de voir le fond de l’eau et la faune marine qui s’y trouvait. Ces changements dans l’environnement de la ville ont soulevé plusieurs questions en lien avec le développement touristique de Venise.
Venise accueille chaque année plus de 30 millions de touristes. Dans les journées les plus achalandées, c’est 150 000 touristes qui visitent la ville en une journée[3]. Cela cause non seulement énormément de pression sur l’environnement et sur la ville elle-même, mais aussi plusieurs enjeux pour la population locale.
En 1980, plus de 100 000 personnes habitaient le centre historique de Venise, alors qu’aujourd’hui il y en a moins de 52 000[10]. En près de 40 ans, la ville a perdu la moitié de sa population. Ce départ massif d’habitants et d'habitantes s’explique de différentes façons. Il y a des personnes qui décident de partir et d’autres qui sont forcées de partir.
Des Vénitiens et Vénitiennes quittent la ville à la recherche d’une meilleure qualité de vie
Avec 30 millions de touristes pour 52 000 habitant(e)s, plusieurs infrastructures et aménagements sont réfléchis en fonction des besoins des touristes plutôt que des besoins des habitant(e)s.
Un exemple de cela est les types de commerces présents dans la ville. Un nombre important de boutiques dédiées aux touristes ouvrent leurs portes (comme des boutiques souvenirs) aux dépens des commerces qui répondent aux besoins des habitant(e)s (boulangeries, quincailleries). Les habitant(e)s quittent donc la ville, puisqu’ils ne sont plus en mesure de trouver des services qui répondent à leurs besoins.
Une autre raison à l’origine de ces départs est l’augmentation du cout des maisons, des logements et des produits et services (alimentation, transport, etc.) causée par le tourisme de masse. Habiter à Venise devient trop cher, donc les habitant(e)s quittent l’endroit à la recherche d’un lieu où le cout de la vie est plus abordable.
Le nombre élevé de touristes occasionne aussi beaucoup de désagréments pour les habitant(e)s :
- des bruits constants,
- de la congestion dans les rues et les canaux,
- d’immenses foules dans les endroits publics,
- des déchets,
- etc.
Les bouchons de circulation causés par les touristes sont tellement nombreux que les habitant(e)s doivent adapter leurs déplacements pour éviter les rues les plus fréquentées. Il devient parfois impossible de traverser un pont lorsqu’il y a trop de touristes qui s’arrêtent pour prendre des photos.
Des Vénitien(ne)s forcés de quitter la ville
Plusieurs habitant(e)s sont aussi forcés de quitter Venise après avoir été expulsés de leur logement. En effet, plusieurs logements dans le centre historique de Venise sont rachetés et transformés en hôtels ou en résidences pour les touristes (Airbnb). Les habitant(e)s sont donc forcés de s’installer ailleurs. Entre 1 000 et 1 500 habitant(e)s quittent ainsi la ville chaque année[10].
Des solutions difficiles à mettre en place
Même si le tourisme apporte son lot d’enjeux, il reste le secteur économique principal de la région. Environ 65 % de la population du centre historique de Venise travaille dans le secteur touristique[11]. Si on élargit à la région en périphérie, ce sont 100 000 personnes qui vivent du tourisme à Venise[12].
L’essor continu du secteur touristique est soutenu par les autorités locales. Des mesures sont tout de même mises de l’avant afin de contrer les effets négatifs du tourisme de masse. En voici quelques exemples.
- L’interdiction pour les bateaux de croisière de s’amarrer près du centre historique.
- La mise en place d’un système de vidéosurveillance qui permet de connaitre le nombre de touristes qui arrivent dans la ville chaque jour.
- L’instauration d’un règlement concernant les boutiques dédiées aux touristes. La municipalité compte en effet interdire l’ouverture de nouvelles boutiques souvenirs à bas prix. Le but est d’encourager les artisans vénitiens et d’ouvrir des commerces au service des habitant(e)s, comme des boucheries, des poissonneries et des magasins de fruits et légumes.
Un plan de relance a été proposé à Rome. Le plan prévoit augmenter le nombre d'habitant(e)s, limiter le nombre de résidences touristiques (comme les Airbnb), contrôler le nombre de touristes d’un jour et mieux protéger les artisans vénitiens.
La mise en place de ces mesures peut parfois prendre plusieurs années. C’est le cas avec le projet du billet d’entrée, autrement dit la mise en place d’une « taxe touriste ».
Le billet d’entrée de Venise est une idée qui est apparue dans le but de contrer le surtourisme. Il permettrait de prévoir combien de touristes il aurait chaque jour. De plus, en augmentant le prix du billet durant les journées les plus achalandées, les autorités espèrent aussi mieux équilibrer le flux touristique tout au long de l’année. Le billet serait nécessaire seulement pour les touristes qui viennent pour une journée. Ainsi, les touristes qui logent à Venise ou dans les municipalités autour seraient exemptés d’acheter un billet.
L’idée était déjà mise de l’avant avant la pandémie de la COVID-19. Toutefois, les restrictions de voyage ont retardé son instauration. Lorsque l’achalandage touristique est redevenu aussi important qu’avant la pandémie, les autorités municipales ont décidé de relancer le projet. Voici quelques détails concernant l'évolution de l'échéancier prévu :
- Le droit d’entrée devait prendre effet en juin 2022. Toutefois, en mai 2022, la municipalité décide de reporter le projet à janvier 2023.
- En janvier 2023, le projet est repoussé à l’été 2023. Le problème se situe dans la manière de contrôler les billets.
- Encore en 2023, le projet diminue ses exigences : le billet sera obligatoire seulement pour quelques jours dans l’année, soit les 15 ou 20 jours qui sont typiquement les plus achalandés. Tous les visiteurs d’un jour devront par contre réserver un billet gratuit. Cela permettra aux touristes de réserver leur place, puisque le nombre de visiteurs sera limité.
- Un premier essai de cette version du projet est prévu en 2024.
- La taxe entrera officiellement en vigueur en 2025.
Pour avoir accès au reste du module, tu peux consulter les fiches suivantes.
- Routard.com. (s.d.). Carte d’identité de Venise. https://www.routard.com/guide/venise/687/carte_d_identite.htm
- Larousse. (s.d.). Venise. https://www.larousse.fr/encyclopedie/ville/Venise/148536
- Ménage, F.-X., Lassalle, Lucas, Bedarida. Bernard. (2022, 5 août). Mesures financières, traçage des touristes…Venise submergée par les visiteurs. TFI Info. https://www.tf1info.fr/international/video-venise-les-touristes-suivis-a-la-trace-2228400.html
- Civitatis Venise. (s.d.). Place Saint-Marc. https://www.venise.net/place-saint-marc
- Civitatis Venise. (s.d.). Grand Canal de Venise. https://www.venise.net/grand-canal
- Rabaudy, Nicolas de. (2016, 28 aout). Venise ne connaît pas la crise. Slate. https://www.slate.fr/story/122663/hotellerie-venise
- Thibaut. (2022, 12 mai). Barrage Venise : tout savoir sur le projet MOSE pour protéger la ville. Bonjour Venise. https://bonjourvenise.fr/barrage-venise/
- Le Parisien. (2019, 16 novembre). « Acqua alta » : déjà dévastée, Venise se prépare à une troisième grave inondation. https://www.leparisien.fr/societe/acqua-alta-deja-devastee-venise-se-prepare-a-une-troisieme-grave-inondation-16-11-2019-8194920.php
- Radio-Canada. (2021, 5 juin). Venise : les croisières reprennent, de même que les manifestations. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1799210/croisiere-tourisme-masse-venise-italie-pandemie
- Alexandre Shields. (2019, 2 décembre). Venise, une ville noyée par le tourisme. Le Devoir. https://www.ledevoir.com/monde/europe/568227/venise-une-ville-noyee-par-le-tourisme
- Gildas Le Roux. (2020, 15 mai). Venise, une ville morte sans les touristes. La Presse. https://www.lapresse.ca/voyage/europe/2020-05-15/venise-une-ville-morte-sans-les-touristes
- Étienne Leblanc. (2020, 11 juin). L’après-COVID-19 : réinventer Venise et son tourisme destructeur. Radio-Canada. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1709030/coronavirus-venise-tourisme-masse-francesco-bandarin-unesco